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Par voyantmaraboutsalo, le 05.02.2019
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Date de création : 02.02.2014
Dernière mise à jour :
26.09.2021
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Avec son premier long métrage, Scènes de crimeavec André Dussollier et Charles Berling, Frédéric Schoenderffer avait fait planer un vent d'innovation dans le polar à la française. C'est justement ce qu'on aurait aimé retrouvé dans ce 96 heures qui se révèle être d'un immense classicisme, même dans sa structure (unité de temps: 96 heures - unité de lieu: cette formidable maison-paquebot blanche - unité d'action: connaître le nom de la balance). On pourra évidemment reprocher au film son inévitable lot d'invraisemblances (notamment dans l'enquête menée en solo par la toute jeune commissaire, très bien interprétée par Sylvie Testud) et sa mise en scène tout aussi classique que son scénario. Reste que, alors que Gérard Lanvin est plutôt en retrait et s'impose peu si ce n'est par un jeu de regards, en très gros plans, pas toujours opportuns, Niels Arestrup, dans un rôle, il est vrai, taillé sur mesure, réussit une composition de gangster soupe au lait, toute en froideur.