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bonjour exc usez moi de cette manière de vous contacter .toute cause a une solution ne soyez pas décourage
Par voyantmaraboutsalo, le 05.02.2019

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Date de création : 02.02.2014
Dernière mise à jour : 26.09.2021
649 articles


CANNES 2015

Nocturnal animals de Tom Ford

Publié le 07/01/2017 à 18:41 par objectiffilms Tags : Ford Gyllenhaal Adams
Nocturnal animals de Tom Ford

Après, en 2009, un premier film, a single man, qui avait été une bonne surprise, le créateur Tom Ford revient donc au cinéma avec une brochette de stars et un scénario complexe dans le but de s'attaquer, clairement, au monde de l'art (lui aussi, c'est à la mode en ce moment au cinéma, cf le doc sur Robert Mapplethorpe), la principale protagoniste, galiériste ne dit-elle pas "Je suis trop cynique pour être artiste". Seulement, voilà, on sort du film avec un sentiment étrange et une certaine déception. Pourquoi? Le scénario se veut malin et mélange trois époques de la vie des deux personnages principaux: quand ils se sont connus et aimés - le moment présent où il lui envoie l'épreuve de son roman qu'elle lit et la mise en scène du dit roman qui mélange le tout et qui se trouve être sans surprise, mille fois vu au cinéma. Jake Gyllenhaal est excellent dans deux rôles très différents et Amy Adams joue parfaitement sa crise conjugale et les remords. Seulement voilà, si l'esthique est maîtrisée (glaciale bien sûr dans le monde de l'art - chaude et sordide en plein désert), si la mise en scène fonctionne, on est quand même agacé par le dispositif et la façon dont le tout se raccorde, notamment quand la protagoniste sort traumatisée à chaque fois de la lecture. A vouloir être trop brillant, Ford semble se perdre dans les méandres de ce film, parfois trop démonstratif. Une séquence, celle entre la mère et la fille, se suffisait pour éviter bien des explications inutiles. Dommage!



Cannes 2015: Gus Van Sant - Moretti

Publié le 16/05/2015 à 17:10 par objectiffilms
La forêt des songes: Gus Van Sant confronte deux cultures au cœur d'une forêt et traite du deuil. Seulement voilà si le film s'était uniquement déroulé dans cette nature nipponne, plutôt bien filmée, ce film aurait été sûrement meilleur car l'erreur flagrante, c'est de plomber le tout par des flash-back sur un couple américain alcoolique à la dérive ultra cliché et filmé avec lourdeur. Le récit est par ailleurs très téléphoné de bout en bout. Le film le plus faible de la sélection pour l'instant! Ma mère: une réalisatrice en plein tournage d'un film social sur les fermetures d'usine alors que sa mère est en soins palliatifs. C'est le sujet du nouveau film de Nanni qui sait être drôlissime et dans la seconde qui suit très émouvant. C'est le retour d'un Moretti dans la veine de ses anciens films qui interroge sur la mémoire, la culture ( scène applaudie sur le pourquoi de l'enseignement du latin) et qui s'auto-égratigne. Un bon cru!

Cannes 2015: Gus Van Sant - Moretti

Publié le 16/05/2015 à 17:10 par objectiffilms
La forêt des songes: Gus Van Sant confronte deux cultures au cœur d'une forêt et traite du deuil. Seulement voilà si le film s'était uniquement déroulé dans cette nature nipponne, plutôt bien filmée, ce film aurait été sûrement meilleur car l'erreur flagrante, c'est de plomber le tout par des flash-back sur un couple américain alcoolique à la dérive ultra cliché et filmé avec lourdeur. Le récit est par ailleurs très téléphoné de bout en bout. Le film le plus faible de la sélection pour l'instant! Ma mère: une réalisatrice en plein tournage d'un film social sur les fermetures d'usine alors que sa mère est en soins palliatifs. C'est le sujet du nouveau film de Nanni qui sait être drôlissime et dans la seconde qui suit très émouvant. C'est le retour d'un Moretti dans la veine de ses anciens films qui interroge sur la mémoire, la culture ( scène applaudie sur le pourquoi de l'enseignement du latin) et qui s'auto-égratigne. Un bon cru!

Cannes 2015: Garrone - Kore-Eda

Publié le 14/05/2015 à 19:02 par objectiffilms
Tale of tales: un film fantastico médiéval (en anglais pour raison commerciale dommage), parfois baroque, parfois merveilleux, surtout grand guignolesque. Trois contes, traités par alternance, dans de superbes décors, séquence d'ouverture dans le style de Reality, carrément sanguinolent à le fin mais c'est globalement sans grand intérêt. La petite sœur: Kore-Eda continue son torpillage du modèle familial japonais en montrant l'inconsistance des parents et le désert affectif face aux enfants mais réussit grâce au portrait de quatre sœurs un joli film très délicat qui fonctionne par petites touches, par petits coups de pinceaux. Au final, le film est moins fort, moins prenant que Tel père tel fils, mais intelligent et subtil.

CANNES 2015: LES SÉLECTIONS

Publié le 26/04/2015 à 17:13 par objectiffilms Tags : cannes 2015
CANNES 2015: LES SÉLECTIONS

On connaît désormais la quasi totalité des films en compétition dans les différentes sélections cannoises et force est de constater qu'il y a des surprises mais aussi de belles attentes.

Dans la course à la palme d'or, on retrouve, essentiellement, des habitués du festival. Côté français, Audiard et Maïween - côté italien, Moretti, Garrone, Sorrentino - côté asiatique, Jia Zhang-Ke, Kore-Eda, Hsiao Hsien - côté américain, Van Sant et Todd Haynes. Donc, dix réalisateurs sur dix-neuf ont déja monté les marches. C'est donc vers les petits nouveaux que l'on se tournera inévitablement et notamment vers Stéphane Brizé, une belle surprise, Joaquim Trier, après son superbe Oslo, 31 août ou Michel Franco dont on n'a pas oublié les radicaux Despuès de Lucia et Daniel & Ana, sans oublier Laszlo Nemès, issu de la Cinéfondation et donc du sérail, qui présentera son 1er long métrage, ce qui n'était pas arrivé depuis longtemps.

Les surprises, et il y en a, elles proviennent de la sélection Un certain Regard, où se retrouvent des habitués du Théâtre Lumière et non des moindres: le palmé Apitchapong, les multi primés Noami Kawasé ou Mendoza. Leurs présences à Debussy soulèvent bien des interrogations et on sera très curieux de voir leurs nouveaux films. Cela donne un attrait supplémentaire à cette compétition où sont également sélectionnés Kurosawa, Porumboiu, réalisateur de l'excellent policier adjectif et côté français, Alice Winocour pour son 2ème film après le remarqué Augustine.

Enfin, si une sélection semble très attractive, c'est sûrement celle de la Quinzaine des réalisateurs grâce, notamment, au film fleuve (6h21) de Miguel Gomes que tout le monde attend après le chef d'oeuvre qu'était Tabou. Mais aussi avec la présence, là encore d'habitués de la sélection officielle comme Desplechin et Garrel, sans oublier la sélection de Jerémy Saulnier, auteur du très réussi Blue ruinet le retour de Sharunas Bartas.

Un programme très alléchant. Vivement le 13 mai.