Adams Big eyes Burton Waltz Adams
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Par voyantmaraboutsalo, le 05.02.2019
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Date de création : 02.02.2014
Dernière mise à jour :
26.09.2021
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Les frères Weintein ont donc réussi à extirper Tim Burton du piège Disney dans lequel il s'est copieusement embourbé ces derniers temps. Et il y avait tout, sur le papier, pour espérer un retour triomphal avec une histoire d'imposture dans le monde des arts d'après un scénario, tiré d'une histoire vraie, écrit par Scott Alexander et Larry Karaszewski. Seulement voilà: c'est une nouvelle fois une déception! On s'ennuie beaucoup devant ce Big eyes. Tout d'abord, Christopher Waltz, dans le rôle du "bien plus publicitaire qu'artiste" en fait des tonnes et sa prestation devient assez fatigante. Ensuite, esthétiquement, évidemment on est très loin de l'univers post-expressionnste qui a fait la gloire du réalisateur de Batman, mais on se demande si celle retenue pour évoquer les années 50 aux Etats-Unis (cela aussi ca finit par être insupportable) est bien la bonne. Fallait-il, pour évoquer une peintre très kitsch, faire de même? Par ailleurs, les personnages secondaires sont ultra stéréotypés et sans aucune épaisseur (que vient faire ici Terence Stamp?). On espérait une réflexion sur l'art, un film corrosif, on a un bonbon acidulé. Heureusement, Amy Adams sauve ce qui peut l'être: elle est parfaite en femme des années 50, pas encore tout à fait émancipée du machisme régnant. Avec ce Big eyes, on est en droit de pleurer sur la filmographie de Tim Burton, surtout quand on apprend qu'il replonge avec Disney pour son prochain film.